faire les 24h en impro me paraissait le plus évident et il s’est avéré tout au long qu’un découpage aurait été bien utile (pour gérer le temps et en fin de compte, ce que l’on veut raconter en "si peu de temps"). on se demande où on va, on se demande pourquoi on raconte ça, on remet tout en question, ça coince, finalement ça repart. je n’avais plus travaillé comme ça depuis trois ans, et j’ai trouvé ça très agéable. au matin, vers 10h30 j’ai été obligé d’accélérer, il me restait cinq pages à dessiner, la couverture (c’est par là que j’ai terminé) et la quatrième de couv. j’ai donc bien fini mes pages à 12h47, soit treize minutes avant le gong final. j’ai réussit à ne pas bâcler la couverture, par contre les dernières pages... et l’histoire... heu...
et merci à tous ! l’ambiance très agréable de ces 24h était concentrée, concentrée...
contrairement à l’année passée, je ne me suis pas lancé dans l’impro, j’ai essayé de bien structurer mes pages. ça m’a valu de (...)
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Voilà ma participation aux 24h... On aurait pu jouer à un jeu en réseau ou prendre de la drogue mais on fait des bande-dessinées. En (...)
Un vingt-quatre heures de la bande-dessinée qui s’est plutôt bien passé, quelques bières dans le gosier, et une narration qui se (...)
Voici mes pages réalisées pendant les 24 heures à Bruxelles. Il ne faut pas tourner très rond pour s’imposer une nuit blanche à (...)
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