Ho trovato ! dice fratello Totò
Uccelini e uccelacci, Pier Paolo Pasolini, 1966
L’argument du film tient comme un roitelet dans la paume de la main.
Deux trames parallèles sont jouées par les même acteurs.
Dans l’une, un père et son fils vont chercher dans les faubourgs de Naples un hypothétique loyer, et rencontrent en chemin un corbeau sarcastique et philosophe.
Dans l’autre, deux frères sont envoyés par Saint François pour convertir les oiseaux à la foi chrétienne.
Je n’en dis pas plus, le film est un ravissement de drôlerie et de délicatesse, et un magnifique portrait de Naples .
L’enfance, le chant, des pépiements d’oiseaux
J’ai choisi le titre Uccellacci e uccelini parce que les enfants partagent beaucoup avec les mouvements des oiseaux.
Un sang d’encre, des traits, de la masse
alias c. & professeur moustache
dessinateur empreint des influences conjointes du dessin d’Eugène Delacroix et du verbe de Gustave Flaubert.
rythme erratique, publications rares.
Cèdre & Séquoia, la cinquième couche, 1999
Hareng couvre-chef, la cinquième couche, 2001
Graham Schalken l’inconsolé, Tunis, premier chapitre, la cinquième couche, 2006