Après Angoulême je ne pensais pas renouveler l’expérience, et puis c’était trop tentant. Je ne pensais pas forcément non plus refaire du “Mont-Vérité” mais c’était moins casse-gueule. Et puis c’est un univers qui a son existence propre, qui n’attend que d’être revisité, surtout avec une nouvelle contrainte en guise de plan pour s’y repérer. Le feuilleton improvisé, plus une contrainte, plus le temps limité, plus le partager en live avec d’autres auteurs : c’est vraiment une expérience intense (voire “limite” !). Au niveau du résultat, cette histoire me semble plus riche et mieux auto-structurée que celle d’Angoulême. Du coup, ça devient une série : “Mont-Vérité Chrono-Poche” ! Recommencer encore ? Euh, je crois pas... Merci à Grandpapier pour l’accueil !
Un vingt-quatre heures de la bande-dessinée qui s’est plutôt bien passé, quelques bières dans le gosier, et une narration qui se (...)
Je ne pensais pas pouvoir tenir 24h à dessiner, finalement ça s’est très bien passé. Mis à part le coup de barre monumental vers 2h, (...)
#Dreamlike#Experimental1) Les 24 heures de la Bande Dessinée de Montréal, le 31 Mai 2008 2) Les 24 heures GRAND PAPIER de la Bande Dessinée de Bruxelles, (...)
#Autobiographyque ce soit avec des instruments de musique, ou une plume à dessin, rien de tel que 24 heures d’impro! Bonne ambiance et bonne (...)
faire les 24h en impro me paraissait le plus évident et il s’est avéré tout au long qu’un découpage aurait été bien utile (pour gérer (...)